Il y avait un petit quelque chose dans la lettre qui l'avait intriguée, ce ton qui laissait sous-entendre la solitude en ces terres. Or, s'il y avait quelque chose qui tenait à coeur à la Duchesse, c'était le bien être de ses sujets. Elle n'avait pas beaucoup de temps libre en cette fin de mandat, mais un arrêt, même rapide s'imposait.
Le carrosse, arborant les armes de la Lorraine, s'arrêta donc à la porte de la Seigneurie et le cocher descendit, se tenant prêt à ouvrir la porte du véhicule dès que le personnel arriverait.